Roman sur le pouvoir, tous les pouvoirs — amoureux, médiatique, intellectuel et financier — et leurs dérives, ce roman met en scène quatre protagoniste amis depuis l’enfance et liés par un secret : un universitaire, un politicien, un journaliste et une tragédienne. Ces personnages forts évoluent entre des histoires d’amour et d’amitié, de corruption et de manipulation.
Le poids des choses ordinaires
Lise Demers est diplômée en histoire de l’art de l’UdM. Elle a travaillé pendant des années en communications et publié trois romans chez Lanctôt Éditeur avant de fonder Les Éditions Sémaphore en 2003.
Revue de presse
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Dans un style poétique et évocateur, l’auteur nous présente une critique sociale corrosive des politiciens et des intellectuels québécois. Olivier Dumas, Montréal Campus.
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Lise Demers sait conjuguer l’écriture littéraire et la révolte contre l’injustice pour développer la conscience et les bases d’un monde solidaire et ouvert. Élaine Audet, L’Aut’journal.
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…une étude psychologique et politique sur fond de crise culturelle et sociale… une lucidité pénétrante… une prise de parole critique et courageuse… Suzanne Giguère, La Presse.
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Sous une plume riche et sans fioritures, Demers sait mêler fiction et contexte sociopolitique. Flore Saget, Voir.
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Des portraits psychologiques très forts. On s’attache à ses personnages parce qu’elle les rend très crédibles. Pascale Navarro, Indicatif présent (Radio-Canada).
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D’une facture très actuelle, ce quatrième roman se dévore aussi bien, sinon mieux, que tous ces best-sellers étrangers qui pullulent sur les tablettes des librairies. Éric Gauthier, Nuit blanche.