Machine et machinations

Machine et machinations

« Bloquer la propagation de toute information touchant à la MÉL. Tel était leur unique but depuis des jours. Garder le secret de la MÉL. Éliminer les fuites au sujet de la MÉL. Ces phrases résonnaient dans ses pensées. Elles le hantaient nuit et jour. »La MÉL, autrement dit la machine à énergie libre inventée jadis par Nikola Tesla.

Le mystère entourant le meurtre brutal d’une journaliste scientifique, commandé par les dirigeants d’une pétrolière, n’a pas fini de donner des maux de tête au sergent-détective Martin Black. Pris dans une toile tissée par les intérêts de chacun, il rencontre toute une gamme de personnages : un amoureux éconduit; une jeune femme menant sa propre enquête; une organisation d’écologistes extrémistes; un groupe mafieux engagé pour réaliser un coup d’éclat et, finalement, un scientifique cachant une découverte extrêmement importante : un prototype fonctionnel de la machine à énergie libre, imaginée jadis par Nikola Tesla.

Machine et machinations est un polar à saveur écologique. Au cœur de l’action, un débat fondamental autour d’un enjeu crucial : la production d’une énergie propre, renouvelable et, surtout, accessible à tous. La guerre éclate entre ceux qui voient la machine à énergie libre comme une menace et ceux qui croient bon de la démocratiser.

Machine et machinations

246 pages
Version papier
ISBN
978-2-924461-17-4
$ 24,95
€ 16,50

Entrepreneure dans l’âme, Florence Morin a toujours des projets plein la tête. Elle partage son temps entre l’écriture, le dessin et sa compagnie lecteurenserie.com, où elle tient un blogue littéraire. Diplômée en génie mécanique de l’École Polytechnique de Montréal, récipiendaire du premier prix Augustin-Frigon en 2013 et lauréate du Profil De Vinci la même

Revue de presse

  • Machine et machinations – Elle [Florence Morin] s’inspire beaucoup de l’actualité et de sujets comme les changements climatiques, l’écologie et la dépendance au pétrole pour écrire ses livres. Charles Antoine Gagnon, Le Droit.

  • « L’enquête, sise en plein cœur de Montréal, est habilement construite autour des personnages bien étoffés et de préoccupations actuelles.» Jennifer Beaudry, Collections, août 2016.

  • Ce premier roman policier de Francine Morin avait tout pour me séduire. Une intrigue dans les rues de Montréal avec des épreuves de hacking et une trame de fond écologique. Comme tout bon roman policier, le récit débute par un assassinat.[…] La pétrolière Pétro-Québec est dans le coup pour protéger ses intérêts et l’entreprise a donné carte blanche a un groupe criminel pour empêcher la journaliste de parler.[…] Avec l’aide d’une organisation criminelle, les environnementalistes radicaux prennent en otage la première ministre du Québec et un présentateur de journal télévisé. […] Ce roman policier ne remplit donc pas toutes ses promesses, mais il reste un bon ouvrage divertissant et agréable à lire. Julien Hivon, La recrue du mois.

  • Beau personnage de policier. Prometteur comme début. Bonne connaissance du milieu des affaires. Bärbel Reinke, Les Bouquins d’abord, 14 décembre 2015.

     

     

     

     

     

  • Machine et machinations ne manque pas de qualités. L’écriture et vive, la trame est assez originale. Les personnages  – pas tous – ont du corps. Mais il y a des mais. Les personnages sont trop parfaits dans leurs champs de «compétence» respectifs, les dialogues sont parfois trop littéraires. Normand Cazelais, Lettres québécoises, *** (162)

  • Mention de Machine et machinations dans la rentrée des polars 2015. Par Cynthia Brisson

     

  • Tout un polar sauce écolo!
    Il fallait bien la rationalité d’une diplômée en génie mécanique pour ourdir une histoire aussi allumée que celle bâtie par Florence Morin pour Machine et machinations. Culturehebdo, octobre 2015.

  • Cet automne, Florence a donné des entrevues lors de deux événements artistiques: Le Comiccom de Québec 2015 et le  Geekfest en novembre 2015.

     

  • «L’enjeu de la consommation des ressources non renouvelables est primordial, selon moi.» Pour l’entretien de Florence Morin dans Le Polyscope, allez à la page 11.