Le soleil a mangé tous les arbres

Le soleil a mangé tous les arbres

Un message électronique envoyé au mauvais destinataire marque le début d’une correspondance particulière dans laquelle Vincent confie à une inconnue ses déboires, de courriel en courriel. Des confrères de travail ayant commis une faute grave, il est partagé entre sa loyauté envers eux et son intégrité morale. Au moment où il se voit confier une mission délicate pour laquelle il n’était pas préparé, des liens gênants commencent à l’enserrer.

Roman épistolaire moderne et énigmatique, Le soleil a mangé tous les arbres étonne et ravit par l’originalité de son intrigue et la vivacité de son style.

Le soleil a mangé tous les arbres

288 pages
Version papier
ISBN
978-2-924461-52-5
$ 29,95
€ 20,00
Version EPUB
ISBN
978-2-924461-33-4
$ 21,99
€ 14,50

Né à Saint-Adelphe-de-Champlain en Mauricie, Jean-Pierre Trépanier fut bibliothécaire puis animateur culturel et sportif dans un pénitencier durant près de vingt ans. Finaliste au prix du Gouverneur général en 2008 pour son roman Colomia, il est reconnu pour ses suspenses palpitants et son habileté à peindre les méandres capricieux de la moralité. Le soleil a

Revue de presse

  • Le soleil a mangé tous les arbres – « Jean-Pierre Trépanier a une belle plume, il a réussi à me captiver du début jusqu’à la fin. »
    – Martine Lévesque, Les mille et une pages LM

  • Le soleil a mangé tous les arbres – « Des romans nous surprennent au point de nous essouffler avec plaisir. C’est rare cet essoufflement littéraire mais quand cela arrive, on ne se contient plus de bouquiner, curieuse et avide, jusqu’à la dernière page, quitte à revenir en arrière pour mieux comprendre ce qui s’est réellement passé. On a éprouvé cet intense piaffement en lisant le quatrième ouvrage de cet écrivain qui, emporté par une écriture aussi dynamique que son récit, nous a causé un grand moment de liesse. Ce n’est pas tant l’histoire qui nous a emportée mais l’art de broder une intrigue autour de personnages qui vont et viennent avec une assurance désarmante envers eux-mêmes. » – Dominique Blondeau