Sans parachute

Sans parachute

À travers ce journal, David Fennario trace le portrait à vif d’une génération assoiffée de liberté et de justice.

Aujourd’hui encore, Sans parachute fascine par son amour inconditionnel de Verdun et son regard posé sur une époque éclatée entre Midnight Cowboy et Bob Dylan.

En 40 ans, la société a-t-elle vraiment changé?
Lire Sans parachute, c’est constater le chemin parcouru et celui qu’il nous reste à faire.

Sans parachute

262 pages
Version papier
ISBN
978-2-923107-17-2
$ 23,95
€ 16,00
Version EPUB
ISBN
978-2-923107-61-5
$ 17,99
€ 12,00

David Fennario est un dramaturge montréalais très connu. On the Job, prix Chalmers 1976, Balconville, prix Chalmers 1980, Joe Beef prix Pauline-Julien 1986 et Death of René Lévesque nommée Pièce de théâtre de l’année 2003 par la Gazette de Montréal, comptent parmi ses œuvres les plus célèbres et ont été traduites et jouées tant au Canada qu’à l’étranger. En novembre 2010, sa pièce contre la guerre, Bolsheviki, était jouée au théâtre Infinitheatre.

Revue de presse

  • Publié, d’abord chez Parti pris (1977), Sans parachute a été repris chez Grasset (1979) pour qui David Fennario était « un écrivain sans pareil, le petit frère canadien de Kerouac, d’une originalité forte, dépourvue de rouerie, d’une réalité captivante, d’une vérité offerte et généreuse, qui pourrait en douter? » (extrait de la promotion de Grasset)

  • Article de Pierre Lussier sur Fennario à l’occasion de la parution de Sans parachute, dans le Messager de Verdun, en date du 1er février 2011.

  • Sélectionné dans « les choix de la rédaction » du journal Métro de Montréal le 26 janvier 2011.

  • La traduction très québécoise de Gilles Hénault est vivante et contribue à faire revivre le Verdun pas trop propre des années 1970. Le Devoir, En bref, 4 déc. 2010.

  • […] À la relecture, les textes n’ont pris aucun ride. Les commentaires sont toujours d’actualité. Comme quoi, on nous montre que le Québec progresse très très lentement. C’est un classique de notre littérature dont la réédition mérite d’être saluée. Culturehebdo, nov. 2010.

  • David Fennario, un anglophone de Verdun, décrit comment il perçoit les militants francophones séparatistes ou de gauche dans les années 1970. Comme Mavis Gallant, il décrit une réalité peu connue, ni des francophones, ni des anglophones à l ‘extérieur du Québec. Anne Lagacé-Dowson, Vous m’en lirez tant, 14 nov. 2010.

  • Romans québécois à sauver de l’oubli
    Choix de Dany Laferrière
    Le Cassé (1964) de Jacques Renaud et Sans parachute (1977) de David Fennario. On les a oubliés et on a tort. Style vif. Talent brut. Regard panoramique sur la ville. Zoom sur la douleur individuelle. J’ai senti Montréal avec ces livres plus qu’avec nul autre. Avec une conscience sociale que les jeunes lecteurs aimeraient peut-être. La presse, 11 novembre 2011.