Tout est tranquille. Il n’y a aucun bruit ; je respire bien…
À plat ventre sur le lit je relis Le Petit Prince. Je prends conscience de ma trop grande tristesse pour l’humanité. Je ne dois plus être aussi réceptif aux souffrances des autres. Soudain l’impression d’une autre vie rend ma lecture nerveuse. On m’épie. J’arrête de lire et reviens à la réalité…
La désarticulation
