Le graffiti du jour de Gilles Hénault
Toujours
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Dernières nouvelles
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C’est avec tristesse que nous apprenons le décès de Stéphane Desrochers. Stéphane a été parmi les premiers auteurs à nous faire confiance, en nous offrant son étonnant roman philosophique Si peu de temps avant le jour. Nos offrons toute notre sympathie à Marie, à ses filles et à tous ceux qui l’aimaient.
L’équipe de Sémaphore.
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… Le monde du livre change beaucoup, la tâche de diffusion des éditeurs est de plus en plus difficile, la viabilité des petites librairies de quartier est constamment menacée malgré certaines initiatives très astucieuses et couronnées de succès, les médias traditionnels destinés au grand public laissent de moins en moins de place à la littérature, bref les passerelles de communication se perdent… et se recréent, grâce aux médias sociaux – Entrevue avec Lise Demers, éditrice des Éditions Sémaphore, Le Journal des Blogs Littéraires
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Notre directrice littéraire Tania Viens présente de la rentrée littéraire 2019 des Éditions – Le Cochaux show, 7 septembre 2019
Suite des nouvelles »
Revue de presse
« Révolté, les poings serrés, j’ai refermé ce témoignage désarmant. […] Cette complainte est le chant le plus terrible que j’ai pu parcourir au cours des dernières années. Je crois que vous ne serez pas nombreux à réagir ou à vous risquer Dans les ténèbres de l’omerta. Je vous connais mes lecteurs. Vous n’aimez pas ce genre de témoignage. Je vous comprends, mais nous devons savoir, entendre ceux et celles qui osent prendre la parole, dénoncer, accuser et décrire une enfance où tout leur a été enlevé. » Yvon Paré, 18 mai 2023, DANIEL GAGNON-BARBEAU A VÉCU L’ENFER
Sur Le poids des choses ordinaires, roman de Lise Demers. « Un texte dérangeant et particulièrement percutant. Un roman qui aborde la question identitaire des francophones du Québec, les concessions que les politiciens font devant les grandes puissances d’argent, les chercheurs universitaires qui se faufilent dans les coulisses du pouvoir pour rafler toutes les subventions et qui acceptent des montants importants des entreprises privées. » Littérature du Québec, chronique d’Yvon Paré publié le 19 avril 2023. Pour un aperçu historique de la littérature «engagée,» cliquez sur Littérature du Québec.
Le poids des choses ordinaires. « Qui savait quoi ? Jusqu’où un tel tirait les ficelles ? C’est d’un machiavélisme dramatique et tordu. Je suis étonné par l’actualité de ce livre qui n’a pas pris une ride vraisemblablement. Je soupçonne Lise Demers, autrice et éditrice, d’être très lucide. Et ça lui sied si bien.» Denis Morin, mars 2023.
La renaissance de l’Interlope. Ce livre savoureux est autant une fiction qu’une étude sociologique minutieuse menée au cœur de l’ancien Red Light montréalais. C’est également, et peut-être surtout, une formidable satire. Avec un second degré qui culmine dans de truculentes notes de bas de page, François Bellemare donne ici une bonne tape sur les fesses de toutes nos hypocrisies, celles d’hier comme celles d’aujourd’hui… et presque de demain. Kareen Guillaume, librairie Bertrand, Les libraires, avril-mai 2023, no, 136, p. 15.
Le poids des choses ordinaires. Le sujet inscrit dans la trame du roman n’a pas vieilli d’un iota, le propos est plus actuel que jamais, les dérives politiques de toutes sortes semblent une incessante tempête planétaire dont le Québec n’est pas à l’abri. […] Nul doute que la fiction de Lise Demers n’a rien perdu de son effet miroir des jeux et des enjeux politiques. La fresque qu’elle brosse est moins négative qu’elle peut sembler de prime abord, d’autres Édouard Rivière trouvant encore et toujours des femmes et des hommes pour défendre des engagements comme les siens. » Pour lire l’entièreté de l’article de Jean-François Crépeau, paru dans Passion chronique, , cliquez ici.
Disparaître. Un recueil magnifique et percutant. […«Ce recueil m’a entraîné dans des questionnements sur l’identité, le moi, l’être et la vie. Une réflexion sur ce monde en fuite où tous souhaitent être quelqu’un qui attire l’attention de ses semblables. Jacques Lemaire prend le parti de l’ombre, des humbles qui font partie de la masse et qui disparaissent au coin d’une rue sans laisser de traces. […] « Des textes étonnants, insolites que j’ai lus avec avidité, qui cherchent à comprendre des figures qui viennent vous bousculer. » Yvon Paré, blogue, pour l’entièreté de l’article, cliquez sur Littérature du Québec.