Posted
on
octobre
10,
2012
by
christine
houde
-
Francis
Colomia,
un
rebelle
au
cœur
tendre
et
au
redoutable
crochet
droit,
est
condamné
à
10
ans
de
prison
pour
un
vol
à
main
armée.
Prompt
à
se
battre
pour
ses
valeurs,
sa
vie
bascule
le
jour
où
l’inspecteur
Levarois
lui
demande
son
aide.
Colomia
cherchera
alors
à
se
venger
et
trouvera
le
monde
extérieur
bien
différent.
Un
roman
sans
compromis,
une
course
contre
la
mort
et
des
personnages
contrastés
qui
nous
projettent
dans
un
réalisme
touchant
et
surprenant.
Une
écriture
efficace
qui
nous
tient
en
haleine
à
tout
moment,
écrit
par
un
Jean-Pierre
Trépanier
qui
connaît
à
fond
le
milieu
carcéral.
Posted
on
octobre
10,
2012
by
christine
houde
-
Sarah
Ouzari,
une
jeune
juive
tunisienne
de
15
ans,
affronte,
entre
1943
et
1945,
la
mort
de
sa
mère,
la
Deuxième
Guerre
mondiale
et
la
montée
d’un
nationalisme
s’opposant
à
l’hégémonie
française.
Pauvre,
rebelle
et
douée
pour
les
langues,
elle
travaillera
pour
les
Forces
alliées
qui
ont
libéré
Tunis
du
joug
de
l’Occupation
allemande.
Elle
découvrira
l’amitié
et
la
solidarité,
à
l’heure
où
la
collaboration
et
la
dénonciation
sont
monnaie
courante,
et
vivra
une
histoire
d’amour
quasi
outrancière
au
sein
d’une
époque
dévorée
par
la
haine
et
minée
par
la
tradition.
Déchirée
entre
naïveté
et
clairvoyance,
Sarah
dresse
le
portrait
coloré
d’une
communauté
sépharade
sévèrement
lézardée
sur
ses
bases
sociales
et
dépeint
une
société
en
mutation
où
le
dialogue
interculturel
et
les
convergences
spirituelles
illuminent
une
des
périodes
les
plus
sombres
de
l’histoire
de
l’humanité.
Bleu
azreq s’appuie
sur
des
faits
réels
et
vécus
et
raconte
une
histoire
tissée
de
brins
de
douleur,
d’audace,
de
tolérance
et
d’ouverture,
telle
une
chronique
où
la
femme
sépharade
revendique
sa
place
dans
la
société.
Posted
on
octobre
10,
2012
by
christine
houde
-
«
On
ne
part
jamais
tout
seul.
Pissenlit
emporte
quelques
livres.
Il
emporte
une
pile
de
blocs-notes.
Il
emporte
des
cahiers
à
croquis.
Il
emporte
des
lettres
écrites
par
une
femme
prénommée
Nicole,
chaque
lettre
dans
son
enveloppe
et
chaque
enveloppe
rangée
en
ordre
chronologique
dans
une
boîte.
Des
lettres
qu’il
pourrait
réciter
par
cœur,
écrites
quand
ils
avaient
l’un
et
l’autre
vingt
ans
et
croyaient
être
les
moitiés
d’un
même
destin.»
Heureux
qui
comme
Ulysse déconstruit
le
mythe
du
héros
légendaire
en
l’opposant
à
celui
de
Pissenlit,
héros
des
temps
modernes
parti
à
la
conquête
de
lui-même,
de
Montréal
à
Tipeesat,
une
réserve
indienne
au
fin
fond
du
Manitoba.
[…]
Un
roman
où
se
chevauchent
deux
conceptions
du
monde:
celui
des
vainqueurs,
celui
de
vaincus,
celui
des
guerriers,
celui
des
pacifistes.
Mais
rien
n’est
vraiment
blanc
ou
noir
quand
une
part
de
soi
appartient
souvent
aux
deux
univers.
Posted
on
octobre
10,
2012
by
christine
houde
-
Marie
a
deux
amours
:
François,
un
peintre
avec
qui
elle
a
une
liaison,
et
François
Rabelais,
son
auteur
fétiche.
Mélangeant
réel
et
rêve,
transposant
ses
espoirs
et
son
goût
de
vivre,
Marie
écrit
un
roman
inspiré
de
Rabelais,
alors
que
sa
vie
sentimentale
connaît
de
multiples
complications.
« Or
donc,
qu’en
dites-vous,
dois-je
ou
ne
dois-je
point
me
marier
? »
se
demande
Graupen
dit
Panurge
Le
Faux,
cherchant
l’âme
sœur
dans
le
Nouveau
Monde.
Véritable
hommage
à
François
Rabelais, Marie
et
les
deux
François est
un
roman
sur
cette
vie
rêvée,
souvent
plus
colorée
et
enivrante
que
la
réalité.
Un
livre
où
l’humour et
la
fantaisie
dissimulent
la
difficulté
d’aimer
et
d’être
aimé.
Posted
on
octobre
10,
2012
by
christine
houde
-
Dans
la
lenteur
des
nuits est
l’histoire
d’une
passion
fusionnelle.
Après
une
dizaine
d’années
d’absence,
une
jeune
femme
revient
au
Québec
et
renoue
avec
son
amour
de
jeunesse.
Ce
récit
se
déroule
dans
le
courant
d’un
été
chaud
et
enivrant,
malgré
les
autres
et
ce
que
les
amants
essaient
d’oublier
de
leur
passé.
Roman
intense
et
érotique, Dans
la
lenteur
des
nuits nous
conduit
au
cœur
de
l’énigme
que
chacun
des
héros
porte
en
lui,
au
secret
de
son
âme.
Dans
la
lenteur
des
nuits est
un
écrit
à
deux
voix.
Un
homme,
Simon,
et
une
femme,
Lila, donnent
chacun
à
tour
de
rôle
sa
version
des
faits,
exprimant
autant
leurs
sentiments
que
leurs
non-dits.
Posted
on
octobre
10,
2012
by
christine
houde
-
Bastien
Comptois,
un
jeune
agent
d’immeubles
menant
une
vie
tout
ordinaire, trouve
un
roman
écrit
par
son
père
décédé
et
décide
de
se
l’approprier.
Ce
roman
reçoit
tous
les
honneurs.
Un
roman
sur
l’usurpation,
sur
les
rapports
père-fils,
sur
le
besoin
viscéral de
gloire et
le
prix
à
payer
pour
devenir
enfin
soi-même.
Posted
on
octobre
10,
2012
by
christine
houde
-
L’histoire
se
déroule
en
banlieue.
Alliant
prose
poétique
et
grande
lucidité,
Jonathan
Harnois
raconte
sans
complaisance
les
sentiments
vécus
après
le
suicide
de
son
meilleur
ami,
et
ses
efforts
pour
donner
un
sens
à
sa
propre
vie.
Une
magnifique
ode
à
la
vie,
à
l’amitié
et
à
l’amour.
Posted
on
octobre
10,
2012
by
christine
houde
-
À
travers
ce
journal,
David
Fennario
trace
le
portrait
à
vif
d’une
génération
assoiffée
de
liberté
et
de
justice.
Aujourd’hui
encore, Sans
parachute fascine
par
son
amour
inconditionnel
de
Verdun et
son
regard
posé
sur
une
époque
éclatée
entre
Midnight
Cowboy
et
Bob
Dylan.
En
40
ans,
la
société
a-t-elle
vraiment
changé?
Lire Sans
parachute,
c’est
constater
le
chemin
parcouru
et
celui
qu’il
nous
reste
à
faire.
Posted
on
octobre
10,
2012
by
christine
houde
-
Roman
sur
le
pouvoir,
tous
les
pouvoirs
— amoureux,
médiatique,
intellectuel
et
financier —
et
leurs
dérives,
ce
roman
met
en
scène
quatre
protagoniste
amis
depuis
l’enfance
et
liés
par
un
secret :
un
universitaire,
un
politicien,
un
journaliste
et
une
tragédienne.
Ces
personnages
forts
évoluent
entre
des
histoires
d’amour
et
d’amitié,
de
corruption
et
de
manipulation.
Posted
on
octobre
10,
2012
by
christine
houde
-
Un
homme,
piégé
dans
un
improbable
sable
mouvant,
prend
conscience
de
sa
vie,
du
temps
qu’il
lui
reste
à
vivre
et
du
temps
qu’il
reste
à
la
planète
avant
que
la
pollution
et
les
guerres
ne
viennent
à
bout
de
l’humanité.
Ses
avions
en
papier,
porteurs
de
SOS,
arriveront-ils
à
destination?
Qui
poura
l’aider?
Les
Utopistes
en
action,
prêts
à
refaire
le
monde?
Les
Féodal
XIIIe
du
nom,
propriétaires
de
la
ville
et
de
tout
le
territoire?
Réflexion
sur
le
temps
perdu,
le
temps
présent
et
le
temps
à
venir,
ce
roman
au
style
imagé
et
plein
d’ironie
déjoue
le
sens
des
mots
et
porte
un
regard
vivifiant
sur
la
solidarité
comme
ultime
solution
avant
le
déclin
causé
par
l’individualisme
et
la
mondialisation.
Un
roman
à
saveur
philosophique.
Posted
on
octobre
10,
2012
by
christine
houde
-
«
Je
m’appelle
Fleur.
J’ai
seize
ans.
J’ai
conçu
le
projet
d’écrire
mon
journal
parce
qu’une
fleur,
c’est
éphémère.
Si
mon
nom
de
famille
était
de
Plastique,
je
pourrais
espérer
durer
plus
longtemps.
»
«
J’habite
depuis
toujours
mon
petit
village.
Il
n’y
a
pas
grand-chose
à
faire,
ici,
et
rien
ne
se
renouvelle
vraiment
:
la
preuve
en
est
que
les
commerces
sont
restés
intacts
depuis
mon
enfance.»
Il
fera
jour
très
longtemps
porte
sur
le
fragile
passage
de
l’adolescence
à
l’âge
adulte,
le
besoin
de
s’affirmer
et
de
briser
le
carcan
des
conventions
sociales
ou
amoureuses.
Posted
on
octobre
10,
2012
by
christine
houde
-
Un
jeune
homme
s’enlise
dans
un
marais
entre
une
saule
pleureuse
impossible
à
consoler,
un
gamin
plein
d’une
vie
dérangeante,
une
luciole
amoureuse,
des
grenouilles,
des
oiseaux
de
fer,
de
la
vase
et
de
la
brume
et
une
maison
aux
trous
bouchés
par
les
livres.
Ce
roman
porte
sur
la
mélancolie,
à
la
fois
douce
et
paralysante,
et
sur
le
courage
de
briser
son
étau.
C’est
une
allégorie
à
travers
laquelle
un
riche
imaginaire
côtoie
la
brutale
réalité
d’êtres
éclopés,
tous
prisonniers
du
marais
qu’ils
se
sont
fabriqué.
Un
roman
où
la
beauté
l’emporte
sur
la
misère,
le
goût
de
vivre,
sur
la
torpeur
et
la
colère
et
la
tendresse,
sur
la
résignation.
Posted
on
octobre
10,
2012
by
christine
houde
-
«
Je
n’étais
pas
une
mouette.
Les
mouettes
me
supplantaient.
Leurs
jérémiades
non
censurées
enterraient
nettement
les
miennes.
Aussi
finis-je
par
jalouser
leurs
cordes
vocales.
Greffez-moi
des
cordes
vocales
de
mouettes,
que
je
me
lamente
en
bonne
et
due
forme.
»
Un
roman
d’amour
atypique
entre
un
gamin
de
9
ans
et
un
adolescent
roux.
Les
Jérémiades,
c’est
l’autopsie
d’une
passion
dévorante
qui
habite
un
enfant
éperdu
d’amour
et
d’absolu.
Posted
on
octobre
10,
2012
by
christine
houde
-
Une
femme
apprend
qu’elle
en
a
pour
quelques
mois
à
vivre.
«
Je
veux
du
temps.
Je
veux
être
avec
mes
enfants
le
plus
longtemps
possible
»,
se
dit-elle
avant
de
commencer
les
traitements.
J’étais
si
bien
raconte,
dans
la
première
partie,
la
lutte
et
les
espoirs
de
guérison
de
la
mère,
le
deuil
progressif
qu’elle
doit
faire
de
ce
qu’elle
fut
et
de
tous
ses
petits
bonheurs
quotidiens.
Dans
la
deuxième
partie,
l’homme
relate
sa
vie
et
les
réactions
des
enfants
après
la
mort
de
l’être
aimé.
Ce
roman
est
une
magnifique
ode
à
la
vie,
à
l’amour
et
à
la
famille.