Disparaître de Jacques Lemaire. Le nouvelliste peint des manières sur le comment disparaître aux yeux du monde, des autres, par la fugue, par la mort imposée, par l’oubli, l’itinérance. Le style est précis et les ambiances mystérieuses et glauques. Edgar Allan Poe n’est pas loin. La prose est dramatique et prenante. Le lecteur en sera quelque peu ébranlé par la dureté de la vie. Denis Morin, blogueur littéraire