La valse, Le vernis craquelé de l’illusion
«Le roman de Karine Geoffrion nous fait entrer dans un univers où les artifices, les illusions et le paraître comptent par-dessus tout. Nous y découvrons l’envers du tape-à-l’oeil, beaucoup moins reluisant celui-là. Le jeu du qui perd gagne que propose l’autrice est d’une redoutable efficacité, un monde où tous les coups semblent permis à condition qu’ils restent du domaine privé.> Jean François Crépeau, Canada français, 1er avril 2021.