Débandé.
«
Récit
provocateur,
au
goût
acide,
Roman
qui
nous
a
fait
sourire,
jaune.
[…]
Chaque
chapitre
nous
le
montre
dans
des
situations
tendues
qu’il
crée
en
se
rebiffant
injustement
contre
quelque
professeur
[…]
contre
ses
classes,
contre
ses
supérieurs.
Tout
y
passe
dans
ce
maelström
perdu
d’avance
:
les
cours
de
sexologie,
le
renfort
d’un
stagiaire,
la
prof
anarchiste,
la
corvée
des
corrections,
le
camp
de
vacances…
Sa
hantise,
c’est
la
discipline,
mater
les
jeunes,
leur
inculquer
une
obéissance
insidieuse,
qui
nous
rappelle
la
soumission
peureuse,
craintive,
qu’exerçaient
des
enseignants
infatués,
imbus
d’un
pouvoir
intransigeant.
»
Dominique
Blondeau,
Ma
page
littéraire,
1er
novembre
2021.