Part d’obscurité – Littérature du Québec, Yvon Paré

Cette part d’obscurité – Le ton de Michel Dufour m’a étonné, l’impression de m’avancer dans un conte ou une fable, de basculer dans un univers où tout est noir et blanc. Comme si la couleur disparaissait pour ne laisser que des blocs qui s’opposent et grossissent la réalité. Dureté, méchanceté même, comme dans les vraies histoires et c’est terriblement efficace. – Yvon Paré, Littérature du Québec

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