Première
recension
du
livre
de
Nathalie
Babin-Gagnon
L’auteure
explique
ainsi
sa
démarche
:
«
À
partir
du
moment
où
je
suis
devenue
mère,
mon
rapport
à
la
mort
a
changé.
J’étais
terrifiée
de
perdre
un
enfant.
Puis
ils
ont
grandi
et
j’ai
essayé
de
tasser
cette
peur.
»
Un
ennui
de
santé
très
mineur
l’a
menée
à
une
réflexion.
«
Et
si
c’est
moi
qui
partais…
».
J’étais
si
bien,
est
le
résultat
de
cette
introspection.
Florence
Meney.
Maternité,
deuil,
enfance
et
énergie
vitale
au
coeur
de
deux
premiers
romans
|
Arts
et
spectacles
|.
Parmi
le
bouquet
fourni
des
parutions
d’automne,
deux
premiers
romans
dignes
d’attention
abordent,
chacun
à
leur
manière
et
dans
deux
démarches
bien
distinctes,
des
thèmes
communs
et
universels,
soit
ceux
de
la
mort,
de
la
force
de
la
maternité
et
de
l’enfance.