La narration, qui suit les Verdier avant, pendant et après la Rébellion, s’étend avec sensibilité sur les ravages de l’éloignement et des pertes de toutes sortes. De l’espoir, aussi, transmis en partie par les apprentissages, en particulier de l’écriture, qui relie les différents destins.
Jean-François Villeneuve, La Presse
Les critiques de la semaine – La Presse+
T’es où, Célestin ? – Alain Poissant – Éditions Sémaphore, 194 pages – 3 étoiles et demie