Excellent
article
de
Danielle
Laurin,
dans
Le
Devoir
de
la
fin
de
semaine.
Une
lecture
à
ne
pas
rater.
«Un
photographe
de
presse
se
raconte.
Ou
plutôt,
il
raconte
ses
aventures
abracadabrantes,
cauchemardesques,
alors
qu’il
était
en
mission,
à
la
fin
des
années
1990,
à
Luanda,
en
Angola.
En
pleine
guerre
civile.
C’est
l’approche
adoptée
par
Éric
de
Belleval
dans
son
troisième
roman,
« Reportages
sous
influence ».
C’est
ce
qui
rend
son
histoire
si
prenante.
Et
déconcertante.
On
a
à
la
fois
le
décor,
terrible,
et
l’envers
du
décor,
tout
aussi
terrible.»
Voyage en enfer d’un photoreporter
Un photographe de presse se raconte. Ou plutôt, il raconte ses aventures abracadabrantes,…