Le corps à l’usure 2

Que ce soit par le biais de la poésie en vers ou en prose, il en a à nous dire ce Aral Cyr qui déballe ses vérités, à prendre ou à laisser. On dirait le fils spirituel de Bukowski. On rit énormément de cette belle lucidité chronique […] Dommage que ce soit une plaquette. On en lirait de même des pages et des pages. culturehebdo.com (mars 2007)

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