J’étais si bien 01

«La fiction est l’occasion pour moi d’apprivoiser ce que j’appellerais mes «fantasmes destructeurs», des idées qui me hantent et me terrifient. Dans tout ce que j’ai écrit, il y a toujours beaucoup de violence, et particulièrement de violence sans justification», indique Nathalie Babin-Gagnon, dans l’entrevue qu’elle a accordée à Marie-Christine Blais. dans La Presse du 7 octobre.

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