Je voudrais me déposer la tête 3

C’est un tout petit roman, peu de pages, peu de mots, mais chaque mot est minutieusement pesé, comme si c’était de l’or (…) Il y a, dans ce récit douloureux traversé par des éclairs de lucidité, bien assez de trouvailles, de beauté, d’images bouleversantes, pour faire oublier les quelques naïvetés. Marie-Claude Fortin, La Presse.

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