Posted
on
octobre
3,
2021
by
christine
houde
-
Morceaux
de
mémoire
est
un
album-recueil
de
morceaux
choisis
parmi
les
superbes
poèmes-collages
qu’a
publiés,
au
fil
des
années,
Mathieu
Dubé
sur
son
compte
Instagram.
Des
mots
choisis,
tombés
des
lames,
minutieusement
assemblés
:
le
travail
de
l’éleveur
de
vers
libres
relève
de
l’orfèverie.
Il
appelle
au
renouveau
de
la
parole,
à
l’adéquation
entre
l’être
et
le
paraître.
Autant
œuvre
d’art
que
littérature
exquise,
la
poésie
de
Mathieu
Dubé
sait
enchanter
œil
et
esprit;
livrer
ses
collages
en
couleur
et
en
grand
format
(comme
les
albums
de
beaux-arts)
tombait
sous
le
sens.
Posted
on
avril
27,
2021
by
christine
houde
-
Dans
un
monde
en
reste
tes
comparaisons
calculées
et
autocongratulatoires
n’ont
plus
aucune
pertinence
nous
sommes
tous
à
la
dérive
poète
et
tes
vers
n’offrent
aucune
attache
à
l’univers
Poète,
où
te
tiens-tu?
est
un
essai
poétique
perçant
sur
les
enjeux
de
la
poésie
à
une
époque
en
déséquilibre.
Posted
on
mars
29,
2016
by
Lise
-
Je
n’ai
pas
attendu
la
mort
de
mon
paternel
pour
lancer
ma
carrière
littéraire.
Dès
la
deuxième
ligne
je
l’ai
supprimé.
Décombres
est
le
troisième
titre
d’Aral
Cyr
à
paraître
chez
Sémaphore.
Posted
on
octobre
10,
2012
by
francisco
-
La
poésie
de
Gilles
Hénault
En
1962,
son
recueil
Sémaphore
suivi
de
Voyage
au
pays
de
mémoire
obtint
le
deuxième
prix
des
Concours
littéraires
du
Québec
et
en
1972,
Signaux
pour
les
voyants,
celui
du
Gouverneur
général.
Poèmes
1937-1993
rassemble
les
recueils,
revus
et
corrigés,
Signaux
pour
les
voyants,
À
l’inconnue
nue
et
À
l’écoute
de
l’écoumène
ainsi
que
plusieurs
poèmes
publiés
en
périodiques
et
une
soixantaine
d’inédits.
Les
préoccupations
du
poète,
ses
rêves
et
ses
espoirs
rejoignent
encore
aujourd’hui
non
seulement
les
jeunes
mais
tous
ceux
qui
veulent
une
plus
grande
ouverture
sur
le
monde,
sans
oublier
les
amoureux
de
la
poésie.
Posted
on
octobre
10,
2012
by
francisco
-
Tout
est
tranquille.
Il
n’y
a
aucun
bruit
;
je
respire
bien…
À
plat
ventre
sur
le
lit
je
relis
Le
Petit
Prince.
Je
prends
conscience
de
ma
trop
grande
tristesse
pour
l’humanité.
Je
ne
dois
plus
être
aussi
réceptif
aux
souffrances
des
autres.
Soudain
l’impression
d’une
autre
vie
rend
ma
lecture
nerveuse.
On
m’épie.
J’arrête
de
lire
et
reviens
à
la
réalité…
Posted
on
octobre
10,
2012
by
francisco
-
«
Le
vieillissement
prématuré
par
l’abus
de
substances
dégénératives.
Pas
de
louange
à
recevoir
des
anges
ni
réprimande
d’aucun
mortel.
Vaseux,
légèrement
titubant,
pâle
et
bouffi
d’avoir
si
peu
et
mal
dormi,
question
de
remettre
la
machine
en
marche,
me
débouche
une
bière
et
l’engloutis
sans
férir
dans
ma
cuisine
en
papier
mâché
qui
tangue
sous
mes
pieds.
»
Tour
à
tour
prose
et
poésie,
Le
corps
à
l’usure
relate
la
dérive
ou
l’apocalypse
due,
entre
autres,
à
l’alcool.
Une
écriture
serrée,
une
perspective
sociale
dérangeante,
sans
compromis,
d’un
amoureux
de
la
littérature
signant
sous
pseudonyme.