Essai

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Regards sur l’art d’avant-garde

Ces textes de Gilles Hénault donnent une idée de l’essor, de l’évolution et du dynamisme des arts visuels au Québec de 1943 à 1990. Ami des automatistes autant que des artistes dans l’entourage de Pellan, Hénault tenait pour essentielle l’importance de faire aimer, voire comprendre, l’art d’avant-garde qui désarçonne le « regardeur ». Et l’ensemble situe les artistes au sein des grands mouvements américains et européens.

Regards sur l’art d’avant-garde s’appuie sur la collaboration de deux spécialistes de l’art contemporain au Québec, Rose-Marie Arbour et Claude Gosselin, dont les analyses apportent un éclairage inédit sur la pensée et la vision de Hénault.

Rose Marie Arbour a enseigné l’histoire de l’art à l’UQÀM (1999-1999). Elle a consacré une partie de ses recherches et de son enseignement à l’analyse des rapports entre art et histoire et à l’apport des femmes aux arts visuels. Elle a publié, entre autres, Le monument sans ombre portée. Une aventure de Pierre Ayot, Galerie GRAFF, Montréal 1993 et L’art qui nous est contemporain, Éd. Artexte, Montréal, 1999, en plus de participer à des ouvrages collectifs.

Claude Gosselin a une formation en histoire de l’art (Université de Montréal et Université du Québec à Montréal) et en sciences. Conservateur et commissaire d’exposition, il a fondé le Centre international d’art contemporain de Montréal en 1983. Il a créé les événements Cent jours d’art contemporain de Montréal de 1985 à 1996 et La Biennale de Montréal (BNL MTL) de 1998 à 2011. Claude Gosselin a été critique d’art au journal Le Devoir en 1974 et 1975.

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Walter Benjamin

Cinq thèmes majeurs sont abordés : le fragment(aire) de l’existence ; le souvenir et la mémoire ; la rédemption du langage et la rédemption de l’écriture ; les pertes et les possibilités de l’expérience et, enfin, l’architecture du rêve collectif, ou la psychanalyse de la ville.

Cet essai est une réflexion philosophique sur la pensée de Walter Benjamin appliquée à notre société contemporaine.

Illustration de la couverture: Dani Karavan, Passages, Hommage à Walter Benjamin, 1990-1994, Portbou, Spain. Cette sculpture environnementale se compose d’un olivier, d’un cube sur lequel on peut s’asseoir et méditer, d’un chemin aménagé qui mène au cimetière où se trouvait la tombe de Walter Benjamin et d’un tunnel. Gracieuseté de ©Studio Karavan.