Pour réécouter les entrevues de Florence Morin (15 avril) et France Martineau (16 avril) avec Bärbel Reinke de l’émission Les Bouquins d’abord, au Salon du livre de Québec.
http://bit.ly/1SthzjQ

En direct du Salon du livre et du Festival de la BD francophone de Québec

La semaine prochaine, c’est à Québec que cela se passe.

Le troisième recueil de poésie d’Aral Cyr, Décombres, est maintenant en librairie. (Aral Cyr est un pseudonyme)

Si vous êtes à Paris la fin de semaine prochaine, venez faire un tour à la librairie du Québec.

Un autre commentaire sur le livre de France Martineau, « Bonsoir la muette ». Celui de Dominnique Blondeau sur sa page littéraire:

 » Le thème du père violeur est récurrent dans la littérature québécoise, celle des années cinquante et soixante, mais rarement a-t-on lu un récit aussi richement analysé, superbement écrit, d’une plume avertie, contemporaine, la main de France Martineau ne manifestant aucun tremblement faillible, la voix aucun trémolo affecté, opportuniste.  »
http://dominiqueblondeaumapagelitteraire.blogspot.ca/

France Martineau et Florence Morin seront au Salon du livre de l’Outaouais. Venez leur dire bonjour.

On parle de nous !
Danielle Laurin nous fait une belle critique du livre « bonsoir la muette » de France Martineau, dans Le Devoir ce matin.

« France Martineau raconte l’enfermement en soi pour éloigner la peur et la honte »
« Ce qui donne à Bonsoir la muette toute sa force, c’est que nous sommes à la fois dans la distance et au plus près de ce que vit la petite France. […] Elle se croyait, se voulait blindée, mais son armure est fissurée. »

L’armure fissurée, la parole libérée

Un premier roman, présenté comme une autofiction. Une histoire de négligence parentale, de violence…

Particulièrement bien construit, le roman [Bonsoir la muette] permet de voir comment ces abus sont intimement liés aux autres événements de la vie du personnage et comment ils en viennent à prendre toute la place. Notons au passage la fin, crève-cœur, dont la réalité froide et crue qui s’en dégage dérange. Étienne Poirier, La recrue du mois.
http://larecrue.net/2016/02/bonsoir-la-muette/

Vous cherchez le cadeau de Saint-Valentin idéal? Nous avons quelques suggestions pour vous dans le Journal de Montréal aujourd’hui!

Bonsoir la muette est « Un livre essentiel. Bouleversant.» Bärbel Reinke, à Les Bouquins d’abord, 8 fév.

Les bouquins d’abord

Site officiel de la station de radio CKRL 89,1 dans la ville de Québec, Canada.

France Martineau parle de Bonsoir la muette avec Barbara Laurenstin. Unebelle rencontre.

L’auteure France Martineau nous présente son premier roman Bonsoir la muette aux Éditions Sémaphore. Site web: http://www.editionssemaphore.qc.ca/

Demain le 22 janvier, Barbara Laurenstin s’entretiendra avec France Martineau. En direct, à 15 h, à l’émission entre nous.

Entre nous – Ottawa – Rogers TV

Quotidiennement, Barbara Laurenstin fait le bilan des nombreuses activités de la région d’Ottawa tout en rencontrant une variété d’experts. Nous sommes maintenant en direct à 15 h ! Suivez-nous sur Twitter // Rejoignez notre page Facebook

Yannick signe une belle chronique sur Bonsoir la muette de France Martineau.

Livresquement boulimique

Récits intimistes | Chronique | Salut Bonjour

Chronique de Chrystine Brouillet

Au sujet de «Bonsoir la muette» de France Martineau, Chrystine Brouillet dit: On lit ce roman le cœur serré car France Martineau rend dans un style éloquent et sobre, le quotidien d’une enfant qui est prête à tout pour être aimée. Terriblement poignant!

Récits intimistes | Chronique | Salut Bonjour

Chronique de Chrystine Brouillet

Au sujet de «Bonsoir la muette» de France Martineau, Chrystine Brouillet dit: On lit ce roman le cœur serré car France Martineau rend dans un style éloquent et sobre, le quotidien d’une enfant qui est prête à tout pour être aimée. Terriblement poignant!

Récits intimistes | Chronique | Salut Bonjour

La linguiste France Martineau France Martineau une autofiction qui promet: «Bonsoir la muette». Danielle Laurin, Le Devoir

Un hiver foisonnant

«Le sort de Bonté III», traduit par Rob Twiss, est en librairie. Publié par les Presses de l’université d’Ottawa.Félicitations à Alain Poissant!

Une quarantaine de personnes ont célébré la sortie du livre.

Une quarantaine de personnes ont célébré la sortie du livre.

Oyez! Oyez! Gens d’Ottawa et de Gatineau. Venez commencer l’année en beauté, au bistro Coqlicorne,la semaine prochaine.

Aujourd’hui le 24 décembre, une excellente critique de Danielle Laurin sur « Éloi et la mer » de Karine Geoffrion.
Joyeuses Fêtes à vous tous, amis de la littérature!

La maternité comme bouée

« Sous la belle plume de Karine Geoffrion, une histoire pathétique comme il y en a plusieurs dans la vie. Le vide éprouvé par certaines personnes après le départ des enfants est parfois si profond qu’il les aspire. Un roman comme un rappel de ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier. »Yannick Ollassa.

Livresquement boulimique: Jeu de substitution

«À l’instar des Poe, Borges et autres maîtres, [Karine Légeron] elle possède ce don de peindre un décor, un caractère en quelques mots et d’ancrer dans notre mémoire le destin de ses personnages.»
Excellente critique de Normand Babin dans http://larecrue.net/2015/12/cassures/

Cassures

Pour les Fêtes, glissez un Sémaphore sous le sapin et offrez-vous des heures de belle lecture!

À partir de 13h, nos auteurs seront à notre stand #100. Venez rencontrer: Nicholas Hauck, Florence Morin, Alain Poissant, Éric de Belleval et Karine Geoffrion. Une belle rencontre en perspective.

Demain vendredi: table ronde autour de la pensée du philosophe Walter Benjamin, de 19h15 à 19h45 à l’Agora.
Avec: Anne-Élaine Cliche, essayiste, Carlos Ferrand, documentariste et Nicholas Hauck, auteur d »un essai sur le philosophe, paru chez Sémaphore. Après, signature de Nicholas au stand ( #100) de Sémaphore.
AUSSI: de 19 à 20 h. Rencontre avec Karine Légeron, auteure de «Cassures»

Un policier à saveur écologique.
Le 9 oct dernier avait lieu à Montréal le lancement de Machine et machinations de Florence Morin.

Les libraires saluent la parution de Machine et machinations de Florence Morin.

Polar et littératures de l’imaginaire : rentrée 2015 – Articles – Littérature policière – Revue…

Mort mystérieuse d’un respectable banquier anglais dans la bibliothèque d’un manoir Tudor du SussexL. C. Tyler (Sonatine) Décidément, l’écrivain britannique aime rendre hommage à la grande Agatha Christie! Après Homicides multiples dans un hôtel miteux des bords de Loire, il revient avec un nouveau…

 » Quand une journaliste scientifique est brutalement assassinée, extrémistes écologiques, scientifiques, compagnies pétrolières et mafia sont pris dans un étrange bal aux enjeux cruciaux. » Cynthia Brisson, au sujet de Machine et machinations.

Polar et littératures de l’imaginaire : rentrée 2015 – Articles – Littérature policière – Revue…

Mort mystérieuse d’un respectable banquier anglais dans la bibliothèque d’un manoir Tudor du SussexL. C. Tyler (Sonatine) Décidément, l’écrivain britannique aime rendre hommage à la grande Agatha Christie! Après Homicides multiples dans un hôtel miteux des bords de Loire, il revient avec un nouveau…

«En tant qu’ingénieurs, je crois qu’il est de notre responsabilité de parler de science et de soulever des débats dans les autres sphères de notre vie.»
Entretien avec Florence Morin, auteure du roman policier «Machine et machinations».

Demain soir, venez prendre un verre aux bar Les Pas sages pour bien commencer la fin de semaine.
Lancement du roman policier de Florence Morin.

«Des petits riens qui assassinent», c’est le titre juste et évocateur qui coiffe le commentaire littéraire de Dominique Blondeau au sujet de «Cassures» de Karine Légeron. À lire en entier.

Ma page littéraire Dominique Blondeau: Des petits riens qui assassinent ***

Invitation au lancement d’un roman policier à saveur écologique.

Commentaire intéressant de Dominique Blondeau au sujet de «Reportages sous influence» d’Éric de Belleval, sur son blogue.

Ma page littéraire Dominique Blondeau

Critique de livres, romans, nouvelles, récits.Écrire est un acte d’amour. S’il ne l’est pas, il n’est qu’écriture. Jean Cocteau

Un bon roman, pour décrocher durant la prochaine grande fin de semaine de congé.

Un roman plus qu’intéressant!

Anne

J’ai lu le premier roman de Karine Geoffrion et il est tout simplement exquis! Je lui souhaite du succès !