Madamelit/Geoffrion

«Comme je les aime ces héroïnes du vide. Le lecteur, avec La valse, est entraîné dans un univers marqué par le factice, le vide, le désespoir, la solitude moderne, l’incommunicabilité, la fuite. […] J’ai vraiment adoré ma lecture.  Je n’ai rien à voir avec cette narratrice, mais j’aime ce type de personnages qui semble sur le point de tomber dans le vide car il s’avère prisonnier de ses illusions. On présente un vide tributaire d’un mode de vie artificiel, marqué par une époque axée sur la performance, sur le paraître, à l’heure des réseaux sociaux.», Madamelit, 30 oct. 2021.

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