J’étais si bien 2

Un sujet grave par une plume pleine d’élan vital
L’auteure explique ainsi sa démarche : « À partir du moment où je suis devenue mère, mon rapport à la mort a changé. J’étais terrifiée de perdre un enfant. Puis ils ont grandi et j’ai essayé de tasser cette peur. » Un ennui de santé très mineur l’a menée à une réflexion. « Et si c’est moi qui partais… ». J’étais si bien, est le résultat de cette introspection. Florence Meney, Radio-Canada.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *