Boire/Benoit Migneault

Boire la mer les yeux ouverts. «Rien de plus terrible que la disparition d’une mère et c’est au cœur d’une œuvre surprenante que Jean-Benoit Cloutier-Boucher partage une mort qui se révèle à la fois prévisible et inéluctable. Prévisible puisqu’elle s’étire sur plusieurs décennies, suite à la découverte d’une sclérose en plaques marquant au fer rouge le temps qui s’écoule et celui qui se dessine. Plutôt que de proposer un récit linéaire, l’auteur propose une alternance en apparence désordonnée entre les moments de pleine santé, ceux où la déchéance est à son comble et tout ce qui se situe entre ces deux pôles […] Un récit profondément touchant, empreint de force et de vulnérabilité. » Benoit Migneault, Fugues, 24 juillet 2022.

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