Poussières dans l’espace

Traduit et adapté de l’arabe par Mazen Abdallah et Sylvie Beaupré

Poussières dans l’espace

Traduit et adapté de l’arabe par Mazen Abdallah et Sylvie Beaupré

Contre les Barbares du temps momifié, l’Octogone veut mener une « guerre propre ». Heureusement, ses chercheurs ont mis au point une arme parfaite : l’implantation ciblée de rêves communs. Reste à trouver comment manipuler un peuple entier grâce à des songes ourdis en laboratoire militaire. Le terrorisme intérieur prendra bientôt un tout nouveau sens…

Ce roman d’anticipation, publié au Liban en 2008, est l’œuvre de deux auteurs, Mazen Abdallah et Haidar Safa. Le texte original en arabe fut traduit et adapté en français par Mazen Abdallah et Sylvie Beaupré.

Sylvie Beaupré est titulaire d’une maîtrise en communication de l’Université Laval à Québec. D’abord graphiste puis correctrice d’examens, elle occupera ensuite un poste de chef d’équipe dans la fonction publique. Depuis 2015, elle travaille en arts visuels et en rédaction.

Poussières dans l’espace

Traduit et adapté de l’arabe par Mazen Abdallah et Sylvie Beaupré

144 pages
Version papier
ISBN
978-2-924461-95-2
$ 23,95
€ 16,00
Version EPUB
ISBN
978-2-924461-96-9
$ 16,99
€ 12,00

Mazen Abdallah, Québécois d’origine libanaise, a étudié en gestion des entreprises à l’Université Saint-Joseph de Beyrouth. Il travaille dans les laboratoires de recherche d’un centre hospitalier montréalais. Haidar Safa, Libanais, a étudié en génie mécanique à Solingen, en Allemagne. Il est enseignant à l’École technique supérieure de Beyrouth. Les auteurs ont écrit à quatre mains

Revue de presse

  • POUSSIÈRES DANS L’ESPACE / Mazen Abdallah et Haidar Safa (trad. Sylvie Beaupré) «Les questions éthiques en lien avec les avancées technologiques sont d’actualité. Et ce roman d’anticipation, qui les aborde justement, a été écrit, en arabe, en 2008, à quatre mains. Il nous place en 2050, alors que des scientifiques dans un laboratoire militaire œuvrent à mettre au point des armes qui permettent de gagner des guerres sans pertes humaines, seulement… par l’implantation de rêves communs. On y croise ainsi des prisonniers qui, tous, ont fait le même rêve, une même nuit. Et il y a aussi cette jeune Bernadette, qui a le don d’entrer dans les rêves des autres à sa guise. Un roman qui aborde de grandes questions, dans une plume merveilleuse grâce à la traduction de Sylvie Beaupré.» Les libraires