L’affaire Brenner

L’affaire Brenner

— Mon pauvre Kevin. Votre machine est complètement détraquée.
— Et je pourrais ajouter, sans risque de me tromper, que ces soixante-trois individus ont vécu en Europe, vers la fin du Moyen-Âge.
— Alors pas de doute. Il s’agit d’un rituel.

L’inspecteur Neuville, en prenant le relais de son prédécesseur mort dans un accident d’auto, enquête sur la découverte de restes humains. Des indices le mènent vers une secte satanique et un possible tueur en série, ce que réfute son patron. Relevé de ses fonctions pour cause d’insubordination, Neuville s’entête à poursuivre son enquête : il y va de la vie de deux enfants.

L’affaire Brenner

202 pages
Version papier
ISBN
978-2-923107-22-6
$ 22,95
€ 15,50
Version EPUB
ISBN
978-2-923107-71-4
$ 16,99
€ 11,50

Jean-Pierre Trépanier a été draveur en Haute-Mauricie, tailleur de pierre en Belgique, bibliothécaire et animateur culturel et sportif pendant près de 20 ans dans un pénitencier fédéral. Aujourd’hui à la retraite, il écrit et fait de la peinture et de la sculpture.

Revue de presse

  • Un mot enfin sur le recours au spiritisme et à la voyance: peut-être Jean-Pierre Trépanier (L’affaire Brenner) est-il en train, avec Stanley Péan, d’inventer un nouveau genre, le polar fantastique. Normand Cazelais, Lettres québécoises, printemps 2013.

  • Depuis plusieurs années, Jean-Pierre Trépanier cultivait l’ambitieux projet d’écrire un authentique polar, sans toutefois contribuer aux nombreux clichés du genre. En guise de personnage principal il nous propose donc un policier tout à fait normal, c’est-à-dire sans problème d’alcool, avec un comportement professionnel exemplaire, qui vit en parfaite harmonie avec son épouse et dont les nuits de sommeil comptent un minimum de huit heures… Nicolas Trépanier, L’affaire Brenner

  • Un limier au nez fin
    Il semblerait que le filon des enquêtes policières en littérature est intarissable. Signe qu’il y a un public qui en redemande. Vous avez les inspecteurs et commissaires célèbres qui ont fait les beaux jours des polars. Mais Jean-Pierre Trépanier vous en fait découvrir un petit futé, l’inspecteur Neuville, dans L’affaire Brenner. Il enquête sur une secte pour le moins étrange. Et on admirera deux choses, la qualité de déduction du protagoniste et son créateur qui a un style alerte qui convient très bien à ce qui est exigé pour ce type d’écrit. Et le dénouement? Permettez de ne pas vendre la mèche tout de même. Culture hebdo, février 2012.

  • Après Colomia (finaliste au prix du Gouverneur général en 2008), L’affaire Brenner, le dernier roman de Jean-Pierre Trépanier pourrait bien lui aussi attirer l’attention. Déjà, le livre figure au nombre des titres à surveiller pour cette rentrée hivernale de quelques tribunes littéraires. Tendu entre la beauté et l’horreur, L’affaire Brenner propose de suivre les traces Jonathan Neuville, inspecteur de police appelé à prendre le relais d’un collègue décédé subitement. Une histoire de mains tranchées retrouvées dans les ordures mènera l’inspecteur Neuville à entreprendre une enquête aux échos historiques. L’introduction à elle seule en justifie la lecture. Myriam Bacon, Le Nouvelliste, Ed. week-end, 17-18 mars 2012.

  • Article de Normand Yergeau, du Journal Vous, sur Jean-Pierre Trépanier.

  • Le choix de la rédaction / Polar
    Des restes humains — un coeur et deux mains d’enfants — sont retrouvés dans un sac à ordure. L’inspecteur Darmont, chargé de l’enquête, meurt dans un accident de voiture. C’est donc le nouveau venu au commissariat, Jonathan Neuville, qui hérite de cette sinistre affaire. En parallèle, de jeunes occultistes invoquent un esprit autour d’une planche de Ouija, quand le curseur épelle un nom : DE RETZ, alias Gilles de Retz, compagnon de Jeanne d’Arc et plus grand tueur en série de l’histoire de France, qui aurait massacré plus de 140 personnes. Gilles de Retz est sans doute plus connu sous un autre nom, devenu légendaire : Barbe bleue. Un thriller sombre aux accents fantastiques. Le libraire, # 69.

  • Ce sera comme ça constamment dans L’Affaire Brenner. On passera d’un monde à l’autre, continuellement, avec, chaque fois, l’impression d’y être vraiment. Sans pour autant tout comprendre. Mais sans pour autant perdre de vue le fil principal du récit, sa raison d’être. Danielle Laurin, Le Devoir.